GIEBEL Karine : terminus Elicius
Jeanne se sent transparente aux yeux de tous. Et ceux qui la remarquent la trouvent bizarre.
Sa vie est réglée comme du papier à musique : train, boulot, train, dodo. En somme, la jeune fille est étrangère à elle-même et vit sa vie en spectateur.
Son train-train quotidien va dérailler le jour où un inconnu lui laissera une lettre coincée entre deux banquettes du train. Son correspondant ne restera pas longtemps inconnu pour Jeanne car il lui révèle bientôt être le serial killer recherché par toutes les polices de Marseille.
Un autre tout premier roman qui vous tiendra en haleine.