BEUGLET Nicolas : le cri
Au fin fond d’une cellule d’un hôpital psychiatrique norvégien, un mystérieux patient oublié de tous , est retrouvé mort.
Les conditions du décès sont suspectes : le malade portant des traces de strangulation semble être mort de peur.
Le personnel de l’hôpital n’est ni franc ni transparent.
Et puis, comment interpréter les dessins reproduits à l’infini sur les murs de la cellule de l’intéressé ?
Enfin, que signifie le chiffre 488 gravé sur le front du mort ?
Trop de zones d’ombre, trop de doutes, trop de points obscurs pour Sarah, une inspectrice d’Oslo qui, en instance de rupture, va s’accrocher à l’enquête pour ne pas sombrer.
Un thriller rythmé aux nombreux rebondissements. Du minier mâtiné de grangé. Les amateurs du genre en redemanderont.