MALANDRIN Stéphane : le mangeur de livres
La quatrième de couverture semblait prometteuse…
Le bandeau du livre mettait en appétit : « un livre à dévorer »
La sélection de l’ouvrage pour le Prix Première apparaissait comme un gage de qualité.
Et pourtant…
Une histoire répugnante qui m’a juste donné envie de vomir, dégueuler, dégobiller, régurgiter, dégorger, rendre gorge, gerber, renarder…
Serez-vous du même avis ?