Des diables et des saints : Jean-Baptiste ANDREA
« Le rythme ! gueulait Rothenberg. Le rythme ! » Le vieux Rothenberg m’enseignait le piano. Il était froissé comme du papier, visage, cou, mains, un braille de rides à donner le vertige. J’avais envie de le repasser chaque fois que je le voyais.
Mais quand il jouait.
Quand il jouait, des rois mages se mettaient en chemin.
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